squales Tu joues les grands hommes Le Che de carnaval Les Malcolm Pour un geste, un zeste de bonheur Chacun est pret a tout ou...presque Pour un test un jeu des 7 erreurs
Quel que soit le garcon Quel que soit le moment Je l'aime... a ma facon Je l'aime... toujours a fond Je le trouve tout le temps Toujours et souvent Si
Bousculees mes pensees Arrachee de ma tete Basculee sans filet Je tombe de ma fenetre La chute laisse esperer Que nul ne me regrette L'angoisse impertinente
grands squales Tu joues les grands hommes Le Che de carnaval Les Malcolm Pour un geste, un zeste de bonheur Chacun est pret a tout ou...presque Pour un test un jeu des 7 erreurs
sur un automne On se suffira bien Pour detisser le monotone... Ses regards, je lui vole Je m'enfouis dans ses manches Ou il me garde et m'envole Au-dessus des
meme le gout amer Du dernier coup... de rein Comme presque tous les gens T'etais pas la souvent Mais je n't'attendrai plus Ma jeunesse est foutue La tienne fout le
Pour vous le dire Il eut suffit De quelques silences Etreints sur le coeur Bercant l'aveu Presque une indecence... Pour vous l'ecrire Il s'en fallut
amazones Venues braver les cyclones Jeunes et brillants archers Leur arc et leurs yeux bandes S'aventurant dans des zones Inexplorees Toi qui reves au velours des
ta caresse Est l'encas reste sans saveur Un oubli, un geste a la place, Reserve a celle de ton coeur Si je dois retrouver l?adresse Des rendez-vous
en bas Quand je sors je meurs de froid Est-ce que tu le sais ? Est-ce que tu le sens ? Est-ce que tu le sais ? Est-ce que tu le sens ? Meme a moitie
Tient dans ma tasse de cafe Quand vient l'hiver Je fais le voeux de voir l'ete Je virerais de bord Plutot que de voir s'echouer Sur le sable d'or Ma
Tu dors, happe par des reves Ou elles t'offrent sans remords Le sucre, la seve Mais sans ce coeur...qui bat Se bat...contre toi Tu dors, et nulle conscience
Glisser sous les saveurs De nos corps qui s'accouchent Refuges des humeurs Et des mots a nos bouches Des mots, des "promis" Des "si j'ose" Pour
la flamme, le flacon Et l'ivresse Tes grands yeux Si je reste un peu... Si je reste Si je reste Je veux les bords de Manche Et le matin la presse Le
sais, je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non, pas sur les levres Non c'est pas mievre C'est pas le